Prévenu que de fausses informations sur mon adhésion à l’ULRF circulaient en particulier en région Maine-Atlantique, celles-ci étant portées par des membres du Suprême Conseil, je me dois aujourd’hui de les démentir mais tiens à préciser :
1 - Que des Frères impatients et déçus puissent faire ce choix pour, pensent-ils, résoudre plus rapidement la crise de la GLNF malgré les prémisses de scission de la déclaration et la mise en garde de la GLUA, je les comprends tant que le chemin ne mène pas à une scission déjà bien envisagée et dans la déclaration/adhésion et dans les blogs soutenant cette action.
2 - Que l’union vers un but commun (le départ de F. Stifani et l’accomplissement le plus rapide de la mission de l’administrateur) et non l’absorption par l’un ou l’autre de l’un ou de l’autre, me semble le plus important. Les alliances n’impliquent pas l’abandon de ses principes.
3 - Que pour écarter toute tentative de récupération, je rencontrerai les plus hautes autorités de la Juridiction du REAA et réitèrerai mon soutien à toutes les actions menées pour le départ de F. Stifani et l’exécution rapide de la mission de l’administrateur tout en conservant le libre arbitre que j’accorde à tous.
4 - Enfin, que je crois essentiel que ces deux points soient le ciment du message que tous les opposants porteront à l’administrateur au cours de la réunion du 28 septembre à laquelle je participerai pour défendre cette position simple avec, je l’espère, l’ensemble des participants.
Pour cela, je souhaite une réunion préalable des participants (accompagnés de leurs proches soutiens) à la réunion du 28 septembre, réunion qui pourrait s’organiser par exemple au cours d’un déjeuner le 26 ou 27.
Très fraternellement,
Jean Murat
PS : Ayant reçu la décision de la Loge 242 de rejoindre l’ULRF, je dois préciser que je n’ai pour ma part rien signé ni approuvé et suis très inquiet de la déclaration de cette Loge :
« Nous travaillerons désormais sous les auspices des Loges Régulières Françaises. »
Cette déclaration est constitutive d’une scission réelle et en contradiction totale avec ce que disent les tenants de cette association.