« Ah qu’il est fort ce type » diraient certains anciens des territoires reculés de Guyenne et Gascogne, là où la lumière du T.R.F. a du mal à percer, là encore où les brumes obscurcissent l’esprit, là, tout autant où l’on a toujours du mal à comprendre le Grand Homme, le Petit Napoléon Hugolien, le surveillant des cours d’écoles, le destiné à celle qu’il ne cherche pas en vain !
Rappelez-vous, tas d’incultes, bande d’ignares , sombres abrutis, mal élevés du « coudoiement familier » qui ne pouvez pas comprendre les hauteurs de pensées d’un T.R.F. et surtout du T.R.F. A.C. !
Que disait-il ?
Un poste d’Assistant Grand Maître me suffira, je n’ai pas d’autres ambitions, bla, bla bla… charabia que nous sommes habitués à subir depuis maintenant trop longtemps.
La grande caractéristique du CANO c’est l’inadéquation paroles-actes.
Je parle bien, mais trop bien pour ensuite bien agir. Autrement dit les paroles sans les actes ne valent rien… cqfd !
Là, le bas blesse mais comme dit notre gourou enfumeur provincial, « qui êtes-vous pour juger » ?
Si tentés que nous puissions lui renvoyer le compliment , et heureux de pouvoir lui dire le fond de notre pensée, nous ajouterons qu’il lui faudra une grande dose d’optimisme pour expliquer comment, après ses récentes déclarations publiques sur sa volonté de ne pas aller au-delà, le voici maintenant tout prés du bon Dieu, le sien, le seul ,l’Unique, le Grand Guide Spirituel auprès duquel il va nous obliger à la baignade rédemptrice, celle d’une spiritualité positive, rayonnante, pleine et entière, celle qui nous permettra de sortir lavés de nos péchés d’ignorants, de manants et de gueux.
Mais « de plus en plus fort » diraient encore nos anciens devant le prestidigitateur du cirque installé sur le foirail.
D’après quelques échos émanant de certains frères dont on connaît le peu d’empressement à imaginer des fadaises et encore moins à les colporter, des frères que l’on dit solides « et de bonnes mœurs » , voilà donc que le CANO serait en train de devenir le candidat que tout le monde attendait à la Grande Maîtrise ?
C’est sûr et certain, dans son imaginaire il y est déjà et il ne peut pas s’empêcher de lancer des ballons d’essai à défaut de les transformer.
Sa stratégie est connue, celle d’un opportuniste…
Jean MURAT doit mourir de peur en sachant que se dresse devant lui un candidat aussi redoutable…
Quant à nous on continue à assister à ce pitoyable spectacle des ambitions personnelles, des donneurs de leçons provinciaux, des manipulations, des escroqueries de l’esprit et sans aucun doute on commence à en avoir pour son argent, celui qu’ils voudraient nous confisquer en nous jetant sur les voies de la démission.
Et bien NON CANO ! suspend qui tu voudras, c’est toi qui est suspendu à un fil !