(NB : Cet article est exceptionnellement long et comporte de nombreux liens, pour nous éviter de faire plusieurs épisodes.
Je fais donc appel à votre patience en vous remerciant par avance.)
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François s’est déclaré candidat à sa propre succession.
Pas de vraie surprise pour ses opposants ni pour ses partisans qui eux s’en réjouissent sans retenue.
Il faut quand même reconnaître à François une qualité : il est tenace et fidèle à ses « valeurs », qui ne sont pas les nôtres bien entendu.
Les moyens qu’il a employés pour rester sur son trône ne sont pas recommandables mais ceux utilisés pour essayer de l’en déboulonner et s’y asseoir à sa place pas davantage : étalages indécents devant les tribunaux, divulgation de l’identité des membres, appels au retrait de la reconnaissance … etc., sans énumérer les innombrables transgressions de la Règle de la franc-maçonnerie.
Autant de manœuvres et de faits de part et d’autre, dont les loges et leurs maçons initiatiques sont à la fois les boucs émissaires et les victimes.
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Pourtant le 25 mars 2010, ces loges et leurs maçons avaient gagné. Ayant obtenu la majorité, il suffisait qu’ils restent dans la salle, votent spontanément la destitution du CA (y compris les membres de droit) et en élisent un nouveau parmi eux. Les tribunaux, à supposer qu’on les eut saisis, auraient privilégié la volonté de l’AG et non la lettre des statuts.
Les loges et leurs maçons prenaient ainsi instantanément le pouvoir dans leur obédience. En quelques semaines ils pouvaient débarquer les imposteurs et mettre en place de nouveaux statuts.
Mais, ce 25 mars 2010, pour protéger la GLNF des dignitaires, FMR s’est bien gardée d’appeler à débarquer sur le champ le CA et de laisser le pouvoir aux loges. FMR n’y a pas pensé me direz-vous. C’est bien ce que je dis : FMR pensait à autre chose.
Ce 25 mars 2010 donc, FMR s’est tout simplement refusée à appliquer l’appel du collectif FMR-Myosotis (le vrai, disparu depuis) rédigé seulement quelques jours plus tôt, le 6 mars 2010, à Salbris : « Nous ne nous battons pas pour prendre le pouvoir mais pour vous le rendre ».
Cette phrase mobilisatrice sonne aujourd’hui comme un slogan politique : je ne veux que votre bonheur et sais ce qui est bon pour vous, votez pour moi ! )
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Les loges sont désormais totalement dépossédées de leur victoire du 25 mars 2010 : l’AG du 4 février 2012 a tout approuvé, tout validé et avalisé, sans condition. L’audit des comptes et des filiales est passé à la trappe et personne même ne s’en plaint. L’exclusion des mutins est en même temps avalisée : ensuite, on reprendra les « bons », ceux qui accepteront de payer, d’obéir aux chefs, de faire « comme avant » quoi.
Tout ça grâce à qui ? Au général Ladéroute (comme dit Zorbec), jadis collaborateur très proche de François et surtout toujours pilier de la GLNF des dignitaires, qui, injecté sous un masque de mutin dans le camp des mutins, a pu sans difficulté les rassembler, prendre leur tête et les amener droit dans le marais de cette AG libératrice qu’on ne parvenait pas à organiser depuis près de 2 ans en raison de cette manie de tout contester sans arrêt.
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Au cours de ces deux longues années 2010 et 2011, deux évènements, parmi d’autres, sont remarquables :
1 le « retour sur le chantier », auprès de François, du numéro 2 de FMR, Jean-Paul P. fin septembre 2010 (lire et lire).
Une idée d’Alain J. adoptée par François et mise en œuvre par Alain J.
Il va de soi que le transfuge a amené son savoir sur l’organisation du camp adverse et les documents y afférents, dont la liste et les coordonnées des conjurés.
Ça s’appelle se procurer les plans de l’ennemi, et c’est, comme par hasard, la spécialité professionnelle d’Alain J. qui sait que tous les hommes ont un prix et qu’il suffit de connaître ce prix pour ouvrir toutes les portes.
Il sera loisible ensuite à Jean-Paul P. de jouer les désabusés, abandonner François pour se donner une contenance, disparaître dans la nature et se faire oublier en attendant la suite.
(Je rappelle accessoirement aux frères du Limousin que Jean-Paul P., qui a une résidence dans un département voisin, est une « connaissance » d’Henri Patrick, pseudo GMP stifanien, qui l’a affilié à la loge bricolée par lui à partir des gravas légitimistes des loges La Tradition Limousine et la Constances Éprouvée ( lire ). Ça ne s’invente pas.).
Alain J. sait alors, ou du moins a les clés pour savoir, qui est qui dans le petit monde de FMR et son « collectif » : les antécédents, les espoirs, les ambitions, les faiblesses de chacun. Autant de manettes sur lesquelles on peut tirer, non pour envoyer immédiatement FMR dans le ravin, mais pour utiliser jusqu’au bout cette bien pratique machine à rassembler les mutins.
2 le passage d’Alain J. lui-même dans le camp des mutins de FMR et compagnie.
Le rapprochement d’Alain J. du collectif se fait sans bruit : lire , lire et lire (surtout voir l’encart embarrassant du Canard Enchaîné que La Lumière tente de minimiser).
Viennent les fameuses Assises de Monteuil (5 février 2011) organisées à l’insu des Myosotis peu fiables car difficiles à embobiner (les faux Myosotis quoi).
Ces Assises devaient originellement tenir lieu d’AG (n’y ont été invités au départ que les VM et 1ers S. représentants officiels des loges) afin d’approuver les plans de la nouvelle GLNF et investir le candidat GM Alain J.
Mais pour ne pas déclencher trop tôt une guerre civile avec les partisans d’un autre candidat (Jean M.) le « collectif » s’est contenté d’une présentation appuyée.
Si vous pensez que j’exagère relisez donc le discours de clôture des Assises (disponible en pdf ici ) par le Représentant Autoproclamé des Myosotis :
« …….
Et comme il s’agit bien de réformer notre institution, sans en exclure quiconque, et encore moins ceux qui nous rejoindront demain, il nous est apparu important de vous présenter l’un de nos Frères qui durant des mois a aussi travaillé sur ce chantier de la réforme, tout en maintenant un lien étroit de communication entre les parias que nous étions et le Président de la GLNF, tentant ainsi de réunir ce qui état épars, mais en vain.
Il s’agit de notre Frère Alain J.
Alain avait lui aussi de son côté lancé de l'intérieur un processus de réforme, avec toujours le secret espoir de lui redonner cette dimension libératrice de l’équilibre retrouvé entre obédience, province et loge.
Mais lorsqu’il s’est agi de renoncer à ses convictions pour participer à un processus dont la seule finalité devait permettre le maintien de l‘arbitraire et du profane, Alain n’a pu cautionner ni le discours ni la méthode.
Il a alors préféré démissionner de son office de Secrétaire Général du Conseil des Sages, conforme à lui-même et à ses engagements de Maçon. Depuis le temps, même si ce fut en discrétion, nous avons appris à le connaître, nous avons appris à le reconnaitre, et à travailler avec lui.
C'est pour cette raison que nous lui avons demandé de nous rejoindre aujourd’hui pour vous être présenté officiellement.
Son expérience, qui nous a déjà été précieuse à plusieurs reprises, sera importante dans la période qui s'annonce. Conformément à ses convictions, Alain aura la dure tache de continuer à rassembler ce qui est épars de telle sorte que la succession de François S. s’organise, sans que nous dussions assister à une guerre des chefs pour savoir qui fera ou sera quoi.
Ainsi mes Frères, nous serons prêts tous ensemble à apporter à la GLNF ce dont elle a besoin pour garantir sa survie et son avenir: un projet et une équipe pour en assurer la mise en œuvre.
André, Alain, Thierry et tous ceux qui estiment être de potentiels candidats en accord avec la trame sur laquelle nous allons tisser le projet de Re fondation, je vous invite à nous rejoindre sur cette estrade.
………… »
Donc dès le 5 février 2011, et quoi qu’on puisse en dire ensuite, Alain J., pilier de la GLNF des dignitaires, est bien le candidat officiel du « collectif », future ULRF.
La presse officielle rapporte immédiatement l’évènement (lire) et elle donne rapidement la parole à Alain J. pour lui permettre de se laver de tout soupçon. ( lire.)
Maintenant que tout est en place, il faut convaincre les réticents et pour ce faire créer un conflit avec François, ce qui est assez facile et fait très (trop) officiellement par une lettre du 28 mars 2011 (lire), trois jours plus tard révélée au grand public des loges par LML, comme par hasard, qui en donne un décryptage avantageux et fait la louange de son auteur. (lire).
Évidemment, comme prévu, François envoie balader tout aussi officiellement l’importun ce qui permet à la presse officielle de rapporte l’évènement. (lire)
Ce qui permet à Alain J. de remettre ça le 8 avril 2011 en montant le ton (lire) pour finir de convaincre, avec diffusion par la presse révolutionnaire officielle (lire).
Le 13 avril il se montre en groupe, accompagné (ou entouré ?) de dignitaires opposants remarquables. Ça fait chef de parti. (voir )
Le 27 avril, petite apparition mondaine aux côtés du concurrent, que l’on respecte et honore bien sûr, pour faire voir que tout baigne. (Voir). Très politique. (Lisez bien les noms des acolytes, vous y verrez ressurgir celui de Jean-Paul P. et d’un autre candidat.).
30 juin 2011 : on se met à trois pour demande officiellement le départ de François (voir). Jean-Paul P. est de nouveau aux côtés de son chef.
20 août 2011 : Alain J. n’est plus un simple dignitaire en opposition avec la gouvernance. Il s’autorise à écrire personnellement à tous les frères, comme un homme providentiel (lire) qui présente son programme pour faire le bonheur des foules et qui s’annonce comme le rassembleur des mutins (voir).
Le processus est enclenché : celui de la reconquête du pouvoir pour le compte des dignitaires (que François dérange par ses excès), en utilisant pour ce faire les mutins eux-mêmes, avant de se débarrasser d’eux.
Il faut d’abord construire une structure pour les y parquer. Commencée avec la déclaration-suspension de liens du 1er juillet 2011, elle prend forme à la rentrée de septembre (relire ) pour devenir rapidement l’ULRF. On disposera ainsi d’un organe d’encadrement et de commandement des mutins afin de canaliser leurs actions et faire cesser les débordements parasites.
Rassembler les divers partis concurrents afin de les neutraliser et de les dissoudre dans un seul parti dont on sera le chef est la clé du succès que tout politique connaît bien.
Sur une page presque blanche, on fait signer les chefs, grands et petits, et on la montre aux militants. (Revoir).
Finalement un beau matin, Alain J. s’autoproclame chef de cette « opposition unie » dans un comité de pilotage qu’il préside et en même temps chef de l’ULRF.
Et personne ne rue dans les brancards (ou presque) : la communication préalable a porté ses fruits.
En revanche, c’est un autre paire de manches que de faire entrer les mutins dans l’ULRF et on s’aperçoit qu’il est plus facile de manipuler les dignitaires que les maçons de base : ça ne marche pas.
Mais après tout qu’importe, l’essentiel est de parvenir à déboulonner François.
C’est fait, ou plutôt ce sera fait fin mars 2012 (sauf si celui-ci nous fait encore un des tours de passe-passe dont il a le secret, mais alors on pourra le diaboliser d’autant plus au grand profit d’Alain J.)
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La voie royale de la GLNF des dignitaires, ouverte par Monique, attend donc Alain J.
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A noter que Monique et les tribunaux sont des auxiliaires involontaires de la manœuvre.
Non qu’ils aient été eux-mêmes manipulés.
Ce sont au contraire les mutins qui ont été manipulés, par des insinuations sur le parti pris de la justice notamment.
Exploiter les évènements, ou les non-évènements, judiciaires, dresser les mutins contre la justice de la république, à la limite de l’offense à magistrat, à votre avis à qui cela peut-il profiter ?
Pas aux mutins justement.
Idem pour l’administrateur.
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Le résultat est là :
L’AG du 4 février a scellé la victoire de la GLNF des dignitaires.
Et la victoire d’un des candidats de cette GLNF des dignitaires est assurée que ce soit Alain J., le général Ladéroute, ou François lui-même.
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Si François est élu, le Général Ladéroute embarquera dans son Arche ULRF avec les mutins qui voudront bien tenter l’aventure d’une GLNF bis. Et peut-être un peu plus tard, GLNF et GLNF bis pourront à nouveau fusionner.
Mais la construction de l’Arche a aussi servi, pendant des mois, à mobiliser l’attention des mutins et à les diviser. C’est déjà ça. Maintenant elle peut pourrir sur ses cales, personne ne s’en plaindra vraiment.
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Cependant, me direz-vous, il y a d’autres candidats.
Oui, bien sûr, mais opportunément, Monique a décidé de faire son propre règlement démocratique : scrutin à deux tours, avec au second les deux candidats arrivés en tête.
Et donc, bien sûr, après le premier tour, report des voix des candidats « malheureux » !
(Comme en politique, mais est-ce autre chose ?)
D’après vous, qui sont-ils, ces malheureux, et sur qui vont se reporter leurs voix ?
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On peut tout de suite voir que trois candidats sont susceptibles de disputer le second tour : François, Alain J. et Jean Eugène M.
Il y a donc trois duels possibles au second tour et trois façons de reporter les voix.
1… Alain J. – Jean M. : Alain J. l’emporte (avec des voix de François).
2… Alain J. – François : Alain J. l’emporte (avec des voix de Jean M.)
3… Jean M. – François : François (à moins que les voix d’Alain J. se reportent sur Jean M. dans l’intention de reprendre ensuite le pouvoir en main au moment de la (non) réforme des statuts).
Les autres candidats ne sont là que pour glaner des voix afin de report au second tour, comme en politique. La présence de Jean-Paul P. parmi les concurrents est édifiante.
Soyez sûrs que la charge de premier ministre et les ministères sont déjà attribués.
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Je rappelle que les loges les plus rebelles sont exclues du scrutin, ayant refusé très tôt de payer les cotisations.
Ne restent dans l’électorat que les loges légitimistes (de François ou de la GLNF des dignitaires) et les loges de la mouvance NiNi qui, appliquant ses consignes, ont payé pour pouvoir voter contre François. Ces dernières constituent le seul « danger » pour Alain J. car partisanes de Jean M.
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L’art du Général Ladéroute a été de faire éliminer les loges les plus rebelles à la GLNF de François et des dignitaires en les incitant à mener une opposition ouverte et exposée à la répression.
Cela étant, maintenant que la GLNF des dignitaires est confortée sur ses bases par l’AG du 4 février, leur argent est toujours bon à prendre : Monique donne jusqu’au 15 mars pour régulariser leur dette de l’année passée et verser un acompte sur l’année en cours (2011-2012).
C’est la mise pour pouvoir jouer.
Mais les loges les plus rebelles ne miseront pas et on le sait : la plupart sont en sommeil donc exclues du scrutin et de toutes façons ne trouvent pas leur compte dans ce scrutin de dupes.
Celles qui accepteront de payer sont seulement celles qui veulent voter pour Alain J. pour éliminer François.
Celles qui entendent voter pour Jean M. ont déjà payé. Elles étaient à l’AG du 4 février. La différence de suffrages entre la question n°9 et les autres leur est due en grande partie.
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Sauf énorme surprise, Alain J. sera au second tour de ce scrutin délirant et il sera élu.
Toute la GLNF des dignitaires non stifaniens et prête à voter pour lui (et les stifaniens se rallieront au second tour après « négociation »).
Le mot d’ordre est passé d’une province à l’autre : tout va rentrer dans l’ordre.
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Dame, depuis l’AG du 4 février, les dignitaires sont assurés de conserver « leur » GLNF. Il ne reste plus qu’à désigner le chef qui la remette en marche, ce qui n’est désormais qu’une simple formalité. Et ce chef injecté il y a quelques mois par la GLNF des dignitaires chez les mutins est Alain J.
Fait important que personne n’ébruite : Alain J. vient d’être élevé en catimini au 33ème degré du REAA par Jean Luc F., le SGC (Souverain Commandeur) réfugié à Londres du SCPLF (Suprême Conseil pour la France du REAA).
Alain J. est désormais un GM de la GLNF prêt à introniser.
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Je me résume (il serait temps me direz-vous) :
Alain J. est le candidat de la GLNF des dignitaires et usurpateurs héritiers de Claude C., revigorée par l’AG salvatrice du 4 février 2009.
Il se dissimule à peine sous la veste de président de l’ULRF, projet destiné à être abandonnée comme une coquille vide sur le bord de la route de la conquête du pouvoir, après recyclage de ses meneurs (comme ministres de second ordre et secrétaires d’état).
Il sera, avec son clan, le digne successeur des Frères de la Côte à la tête de la société d’influence et pompe à fric GLNF. On changera peut-être le nom de la société et on relookera un peu les statuts de 2009 histoire de dire que ce n’est pas la même chose.
La montée au pouvoir d’Alain J. est anticipée depuis de longs mois et le « collectif » y a largement contribué, en annonçant même par anticipation sa candidature il y a un an aux assises de Montreuil (revoir passage ci-dessus).
Tout ce qui est dit aujourd’hui n’est que du baratin électoral pour faire passer la pilule.
Mais me direz-vous : et la GLNF des Loges Souveraines dans tout cela ?
Dans cette tourmente folle, la GLNFDLS, comme le roseau d’un Jean assez fameux, plie mais ne rompt pas.
Nos principes n’ont pas changé et nos convictions non plus. Nous attendront le temps qu’il faudra que la raison et la conscience maçonnique reprennent le dessus.
Notre priorité n’est pas d’élire un candidat GM (surtout celui des statuts illégaux de 1997-2009) mais de rétablir les loges dans leur souveraineté originelle et le strict respect des landmarcks. L’obédience est une fédération de loges et l’élection du GM (simple figure emblématique de l’obédience ce qui n’est déjà pas si mal) vient après l’inscription indélébile des principes précités dans les statuts.
S’il faut absolument parler de l’élection du GM, nous sommes prêts à élire n’importe quel vieux maçon honnête dans une AG qui mettrait cette élection en 2ème position de son ordre du jour, et de manière conditionnelle sous réserve de l’approbation de la première question, celle-ci étant l’inscription en clair dans les nouveaux statuts (fait sur la base de ceux de 1986) de quelque chose du genre :
« La GLNF est une obédience maçonnique organisée en fédération de loges.
Toutes les loges placées sous son obédience sont souveraines et à ce titre ont, dans le respect de la loi et sans restriction ou réserves autres que celles du règlement commun, qu’elles ont elles-mêmes décidé et voté en AG :
- le pouvoir de se constituer elles-mêmes et de se placer sous l’obédience.
- le pouvoir d’admettre et d’initier leurs membres.
- le pouvoir disciplinaire sur leurs membres.
- l’autonomie financière.
- l’autonomie administrative.
….. etc. »
Une fois seulement cette mesure définitivement adoptée, élection du GM dans la foulée.
(Je précise, pour ceux qui font semblant de ne pas avoir compris, que nous (la GLNFDLS) ne voulons pas revenir aux statuts de 1986 pour y rester mais y revenir le temps d’organiser une AG qui les fasse évoluer, l’AG étant l’expression de la volonté souveraine des loges. (relire la Proclamation Septimanie Mont Gargan ci contre et l’article du 12 décembre 2011, ici ). Il faut bien en effet repartir d’une base concrète et, au regard du droit, les statuts de 1986 sont la dernière base saine.)
D’autres articles viendront développer ce sujet.
Je vous remercie d’avoir eu la patience de lire celui-ci jusqu’au bout et vous salue tous.
Wilhem Fermtag
Myosotis du Mont Gargan